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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 11/11/2024

Cinquantenaire de la mort de Félix Eboué (1884-1944) résistant et homme politique français.


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 2004

 

Oblitération 1er jour à Paris, Salon du livre le 16 octobre 2004
Cachet premier jour créé par : Marc Taraskoff

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris, Salon du livre le 16 octobre 2004
Vente générale : 18 octobre 2004
Retrait de la vente : 29 juillet 2005
Valeur faciale : 0.50 €
Affranchissement le plus courant : Lettre Prioritaire jusqu'à 20gr pour la France, Andorre et Monaco
Création : Marc Taraskoff
Mise en page : Marc Taraskoff
Département concerné par ce timbre : Guyane
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Héliogravure
Format du timbre : 26 x 40 mm ( image 21,45 x 36 mm )
Quantité émis : 2.720.000
Présentation : Feuille de 60 timbres
Bande phosphore : 2 bandes
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 3714
Catalogue Spink / Maury France : N° 3697
Catalogue Michel : N° FR 3863
Catalogue Scott : N° FR 3049
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,38 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,10 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Poètes, écrivains, philosophes, historiens

 


Informations sur le sujet du timbre

Félix Eboué

est né le 26 décembre 1884, petit-fils d'esclave, à Cayenne. Après de brillantes études à Cayenne, il obtient en 1898 une bourse d'étude pour la France et part à Bordeaux au Lycée Montaigne. A Bordeaux, en complément de ses études, Félix Eboué s'adonne au sport et particulièrement au football. Sous les couleurs du SBUC et du Sporting Club Universitaire de France, il connaît les joies du stade. Il obtient à Bordeaux son baccalauréat es-lettres puis part s'installer à Paris où il suivra des études de droit tout en suivant l'enseignement de l'École coloniale (où sont formé l'élite des administrateurs de la France d'Outre-Mer). Il obtient en 1908 sa licence à la faculté de droit..À l'exemple de Lyautey, il souhaitait que les autochtones puissent conserver leurs traditions et pensait que l'appui des chefs coutumiers était indispensable. Il combattit pour l'insertion de la bourgeoisie indigène dans la gestion locale..Il a consigné toutes ses idées dans son étude intitulée «La nouvelle politique indigène pour l'Afrique Equatoriale Française».La conférence des hauts dirigeants administratifs des territoires africains tenue à Brazzaville le 22 janvier 1944 retient la thèse d'Éboué sur l'assimilation..Malheureusement il ne verra pas les réalisations issues de cette conférence, fatigué, il part se reposer en Égypte, après avoir séjourné en Syrie. Il meurt au Caire le 17 mai 1944 d'une congestion cérébrale. Entouré de sa femme, de sa fille et de son fils cadet...Source Wikipédia

 

Félix Eboué

was born on 26 December 1884, the grandson of a slave in Cayenne. After a successful education in Cayenne, he obtained a scholarship for France in 1898 and went to Bordeaux to the Lycée Montaigne. In Bordeaux, in addition to his studies, Félix Eboué is devoted to sports and especially football. Under the colours of SBUC and Sporting Club Universitaire de France, he knows the joys of the stadium. He obtained his baccalaureate in Bordeaux and then moved to Paris where he studied law while attending the Colonial School (where the elite of directors of overseas France are trained). He obtained his licence in 1908 from the faculty of law. Like Lyautey, he wanted to ensure that the indigenous people could maintain their traditions and felt that the support of the traditional chiefs was essential. He fought for the inclusion of the indigenous bourgeoisie in local management. He has documented all his ideas in his study entitled «The new indigenous policy for French Equatorial Africa». The conference of senior administrative leaders of the African territories held in Brazzaville on 22 January 1944 took up Éboué’s thesis on assimilation. Unfortunately he will not see the achievements of this conference, tired, he leaves to rest in Egypt, after having stayed in Syria. He died in Cairo on 17 May 1944 of a stroke. Surrounded by his wife, daughter and younger son... Source Wikipedia