TIMBRES DE FRANCE
Ex : 50 c
Ex : 456
Ex : Appel du 18 juin
Ex : 1900
Ex : Femme
mini 4 lettres
Création du site : Juillet 2005
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Nombre de pages : 107.354.531
Dernière mise à jour 18-11-2024
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Croix rouge
Jean Nicolas Corvisart 1755-1821
Timbre : Courant / moderne
Voir tous les timbres courants de l'année 1964
Listage des timbres de l'année 1964
Cachet premier jour
Premier jour : Oblitération 1er jour à Dricourt le 12 décembre 1964
Vente générale : 14 décembre 1964
Retrait de la vente : 14 décembre 1965
Valeur faciale : 20 c + 10 c
Graveur : Jules Piel
Dessinateur : Jules Piel
Département concerné par ce timbre : Ardennes
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : noir
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 2.790.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1433
Catalogue Spink / Maury France : N° 1433
Catalogue Michel : N° FR 1494
Catalogue Scott : N° FR B385
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,11 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,10 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Thématique catégorie : Croix Rouge
Informations complémentaires
Premier médecin de sa Majesté Impériale. Il accompagne son impérial patient, dont il dissipe les malaises par une hygiène alimentaire stricte.
Comme il se doit, le praticien est comblé d'honneurs il est élu à l'Académie des sciences en 1811 et à l'Académie de médecine en 1820. Redevenu « Premier médecin de Leurs Majestés impériales » durant les Cent-Jours, il se retire après Waterloo. Il est l'un des derniers à saluer Napoléon avant son départ pour Rochefort.
Un an après l'exil de l'Empereur, il est victime d'une attaque d'apoplexie (accident vasculaire cérébral) qui le laisse hémiplégique. Et c'est moins de cinq mois après le plus illustre de ses patients que meurt Corvisart, à Courbevoie, le 18 septembre 1821.
Source : divers documents internet dont Wikipédia
Jean-Nicolas Corvisart des Marets (1755-1821)
Durant le Consulat, il gagne la confiance de Napoléon et de Joséphine, dont il devient le médecin personnel. Cette confiance sera proclamée quelques années plus tard de façon éclatante dans cette phrase célèbre de l'Empereur : Je ne crois pas à la médecine, mais je crois en Corvisart.Premier médecin de sa Majesté Impériale. Il accompagne son impérial patient, dont il dissipe les malaises par une hygiène alimentaire stricte.
Comme il se doit, le praticien est comblé d'honneurs il est élu à l'Académie des sciences en 1811 et à l'Académie de médecine en 1820. Redevenu « Premier médecin de Leurs Majestés impériales » durant les Cent-Jours, il se retire après Waterloo. Il est l'un des derniers à saluer Napoléon avant son départ pour Rochefort.
Un an après l'exil de l'Empereur, il est victime d'une attaque d'apoplexie (accident vasculaire cérébral) qui le laisse hémiplégique. Et c'est moins de cinq mois après le plus illustre de ses patients que meurt Corvisart, à Courbevoie, le 18 septembre 1821.
Source : divers documents internet dont Wikipédia