Fermer

 

Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 23/10/2024

Paul Dukas (1865-1955) compositeur


Timbre : Courant / moderne



Voir tous les timbres courants de l'année 1965

Listage des timbres de l'année 1965

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Paris le 13 février 1965

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris le 13 février 1965
Vente générale : 15 février 1965
Retrait de la vente : 11 septembre 1965
Valeur faciale : 40 c + 10 c
Graveur : Charles Mazelin

Dessinateur : René Cottet

Département concerné par ce timbre : Paris
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : gris bleu et brun lilas
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 2.500.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1444
Catalogue Spink / Maury France : N° 1444
Catalogue Michel : N° FR 1501
Catalogue Scott : N° FR B390
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,15 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,14 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Musiciens, chef d'orchestres

 


Informations sur le sujet du timbre
Paul Dukas (1865-1955) compositeur 

Paul Dukas compositeur français (Image Wikipédia)

 

Paul Dukas

Orphelin de mère à cinq ans seulement, il fait preuve pourtant d'un certain talent pour la musique. Il apprend le piano et commence à composer à 14 ans. En 1881, à 16 ans, il entre au Conservatoire de Paris et étudie le piano avec Georges Mathias, l'harmonie dans la classe de Théodore Dubois et la composition auprès d'Ernest Guiraud.
Paul Dukas entame une carrière de critique musical. Il écrira ainsi dans les plus grands journaux spécialisés de son temps. La création, en 1891, de l'ouverture de Polyeucte sous la direction de Charles Lamoureux lance sa carrière de compositeur célèbre. En 1895, Paul Dukas participe à l'édition complète des oeuvres de Rameau, puis en 1897, il compose ce qui deviendra un succès planétaire : L'Apprenti sorcier, inspiré par le poème Der Zauberlehrling de Goethe.
En 1910, Paul Dukas se lance dans l'enseignement, en devenant titulaire de la classe d'orchestre du Conservatoire, ce qui l'amènera à succéder, en 1928, à Charles-Marie Widor pour y diriger la classe de composition et d'orchestration. En 1916, il s'installe à Sainte-Maxime pour faire des révisions de musique ancienne et d'oeuvres de Beethoven. Malheureusement, au cours des dernières années de sa vie, un perfectionnisme excessif le pousse à détruire certaines de ses oeuvres. Son dernier chef d'oeuvre, le ballet La Péri, créé en 1912 aurait ainsi échappé de peu à la destruction et à l'oubli.
Source : divers documents internet dont Wikipédia

 

Paul Dukas

Orphaned at the age of five, he has a certain talent for music. He learns piano and begins composing at 14. In 1881, at the age of 16, he entered the Paris Conservatory and studied piano with Georges Mathias, harmony in the class of Théodore Dubois and composition with Ernest Guiraud.
Paul Dukas began a career as a music critic. He wrote in the greatest specialized newspapers of his time. The opening of Polyeucte in 1891, under the direction of Charles Lamoureux, launched his career as a famous composer. In 1895, Paul Dukas participated in the complete edition of Rameau’s works, and then in 1897, he composed what became a worldwide success: The Sorcerer’s Apprentice, inspired by Goethe’s poem Der Zauberlehrling.
In 1910, Paul Dukas began teaching. Became principal of the orchestra class at the Conservatoire, which led him to succeed Charles-Marie Widor in 1928 as head of the composition and orchestration class. In 1916, he moved to Sainte-Maxime to review early music and works by Beethoven. Unfortunately, in the last years of his life, excessive perfectionism led him to destroy some of his works. His last masterpiece, the ballet La Péri, created in 1912, would have narrowly escaped destruction and oblivion.
Source : various Internet documents including Wikipedia