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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 18/11/2024

 

Oblitération 1er jour le 28 et 29 juin 2024<br>- Au carré d'Encre de 10h à 19h, 13 bis rue des Mathurins, 75009 PARIS<br>- Musée du Gévaudan, de 14h à 18 h, 3 rue de l’Epine, 48000 MENDE.<br>- Office du Tourisme, de 10h à 12h30 et de 14h à 18h, rue des Fossés, 43170 SAUGUES
Cachet premier jour créé par : Christophe Laborde-Balen

 

Premier jour : Oblitération 1er jour le 28 et 29 juin 2024
- Au carré d'Encre de 10h à 19h, 13 bis rue des Mathurins, 75009 PARIS
- Musée du Gévaudan, de 14h à 18 h, 3 rue de l’Epine, 48000 MENDE.
- Office du Tourisme, de 10h à 12h30 et de 14h à 18h, rue des Fossés, 43170 SAUGUES

Vente générale : 1 juillet 2024
Valeur faciale : 1.29 €
Affranchissement le plus courant : Lettre verte 20g pour la France, Andorre et Monaco
Graveur : Christophe Laborde-Balen

Création : Christophe Laborde-Balen

Dentelure : 13¼ x 13
Couleur : Nuances de gris
Mode d'impression : héliogravure
Format du timbre : 30 x 40,85 mm
Quantité émis : 594.000.
Présentation : Feuille de 15 timbres
Bande phosphore : 1 barre à droite
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 5795
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,65 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,33 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Chiens, chats, poissons, oiseaux, insectes

 


Informations sur le sujet du timbre
La bête de Gévaudan 

« Figure du Monstre qui désole le Gévaudan ».
Gravure sur cuivre de 1764-1765 (Image Wikipédia)

 

La Bête du Gévaudan

est le surnom donné à un ou plusieurs canidés qui ont commis des attaques contre des humains en France entre le 30 juin 1764 et le 19 juin 1767. Ces attaques, souvent mortelles, ont eu lieu principalement dans le nord de l’ancien pays du Gévaudan, une région d’élevage qui correspond globalement à l’actuel département de la Lozère.
Les attaques ont causé entre 88 et 124 morts. Deux canidés ont été suspectés d’être la Bête. Le premier, un grand loup, a été tué en septembre 1765 par François Antoine, le porte-arquebuse de Louis XV1. Cependant, les attaques ont repris peu de temps après. Le 19 juin 1767, le paysan Jean Chastel a abattu le second animal, identifié comme un loup ou un canidé ressemblant partiellement à un loup. Après cette date, plus aucune attaque mortelle n’a été signalée dans la province.
De grandes battues sont organisées et des exploits marquent la chronique, notamment celui du jeune berger Jacques Portefaix qui, avec d’autres enfants, repousse l’attaque de la bête, puis celui de Marie-Jeanne Vallet, qu’on appellera « la Pucelle du Gévaudan ». La nature exacte de la Bête du Gévaudan reste un mystère.
Source : divers documents internet dont Wikipédia

 

La Bête du Gévaudan

is the nickname given to one or more canids who committed attacks against humans in France between 30 June 1764 and 19 June 1767. These attacks, often fatal, took place mainly in the north of the former country of Gévaudan, a region of breeding that corresponds globally to the present department of Lozère.
The attacks caused between 88 and 124 deaths. Two canids were suspected to be the Beast. The first, a great wolf, was killed in September 1765 by François Antoine, the carrier-arquebuse of Louis XV1. However, attacks resumed shortly thereafter. On 19 June 1767, the farmer Jean Chastel shot the second animal, identified as a wolf or canid partially resembling a wolf. After that date, no more fatal attacks were reported in the province.
Great battles were organized and exploits marked the chronicle, especially that of the young shepherd Jacques Portefaix who, with other children, repelled the attack of the beast, then that of Marie-Jeanne Vallet, whom we will call «la Pucelle du Gévaudan». The exact nature of the Beast of Gévaudan remains a mystery.
Source : various Internet documents including Wikipedia