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Frédéric
Timbre : Courant / moderne

 

Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre et à Montpellier le17 et 18 février 2017
Cachet premier jour créé par : Claude Perchat

 

Frédéric Bazille (1841-1870)


Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre et à Montpellier le17 et 18 février 2017
Vente générale :20 février2017
Retrait de la vente : 24 novembre 2017
Valeur faciale : 1.70 €€
Affranchissement : Lettre prioritaire 100g
création : Frédéric Bazille
Mise en page : Claude Perchat
Département concerné par ce timbre : Finistère

Dentelure : Dentelé 13¼ x 13
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Héliogravure
Quantite émis : 800.010.
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier Timbres français : N° 5122
Valeur marchande timbre neuf : 2,10 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,75 €

 

NOTE : La valeur marchande est le produit des différentes cotes sur lesquelles est appliqué un coefficient réducteur de 70% (ce qui représente la valeur réelle du timbre en cas de vente)

 


Timbres présentants : Les Peintres, sclupteurs, architectes, tableaux, vitraux

 


 

Jean Frédéric Bazille

né le 6 décembre 1841 à Montpellier (Hérault), et mort au combat le 28 novembre 1870 à Beaune-la-Rolande (Loiret), est un peintre impressionniste français.
Il passe généralement ses étés dans la propriété familiale du Domaine de Méric, à Montpellier, et face au village de Castelnau-le-Lez, domaine qui sert de décor à quelques-unes de ses toiles, comme La Robe rose (1864), Réunion de famille (1867) ou Vue de village (1868).
Autant par le choix de ses thèmes que par son style, Frédéric Bazille se démarque de de la peinture académique du 19e siècle et appartient à la modernité. Il se situe dans le sillage des réalistes, qu'il s'agisse de Gustave Courbet (1819-1877), Édouard Manet 1832-1883). Les formes diluées, les personnages vaguement esquissés n'apparaissent pas chez Bazille.
Bazille peut être rattaché au courant impressionniste car il appartenait au groupe naissant et que, dans la décennie 1860, les impressionnistes en restent à des expériences se détachant progressivement, et plus ou moins selon les individus, du réalisme des peintres de l'École de Barbizon. La lumière, ses variations, ses reflets, son influence sur les couleurs intéressent l'artiste dès les premières oeuvres (La Robe rose, 1864).
Texte du webmaster d'après divers documents.