Accueil
Affichage par timbre
listage des timbres par N°
Affichage par département
listage des timbres par département
Les collections par année
Classique / courant
Autoadhésif
Trésor philatélique
Ballons montés
Blocs feuillet
Pochettes souvenirs
Aérien
Guerre 14-18
Préoblitérés
Service (timbres de)
Taxe (timbres)
Colis
Emission de Bordeaux
S H A E F
Grève (vignettes)
Bloc CNEP
Franchise
L V F
Sedang
Vignettes LISA
Patrimoine de France
Classement par catégorie
Classique
Courant
Autoadhésif
Trésor philatélique
Blocs / souvenirs
Aérien
Préoblitérés
Service (timbres de)
Taxe (timbres)
Colis
Bloc CNEP
Andorre
Classique
Aérien
Taxe
Monaco
Classique
Aérien
Taxes
St Pierre et Miquelon
Classique
Aérien
Taxe
Wallis et Futuna
Classique
Aérien
Taxe
Ex Colonies
Algérie
Behin
Cote d'ivoire
Djibouti
Issas
Maroc
Obock
Sénégal
Cote des Somalies
Tunisie
Philatélie
lexique philatélique
Quelques explications
Signatures experts
Histoire de la poste
Tarifs postaux
Les graveurs/dessinateurs
Classement par cote
Téléchargement
Feuilles pour classeur
Contact
Contact
Classement par thème
Collections thématiques
Déposer une Annonce
Annonces
listage des timbres par année
Fermer
Premier jour :
Oblitération 1er jour à Paris au carré d'Encre et à Reims le 26 janvier 2018Vente générale : 26 janvier 2018
Retrait de la vente : 31 octobre 2018
Valeur faciale : 1.90 €
Affranchissement : Lettre prioritaire jusqu'à 100g pour la France, Monaco, Andorre
Mise en page: Angélique Andrillon
Dentelure : Dentelé 13 x 12¼
Couleur : Quadrichromie
Mode d'impression : Héliogravure
Format du timbre : 52 x 40,85 mm (image 48 x 36,85 mm )
Quantite émis : 500.000.
Présentation : Feuille de 30 timbres
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier : Courant / moderne - N° 5200
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 1,88 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,63 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Timbres présentants : Les Peintres, sclupteurs, architectes, tableaux, vitraux
Informations sur le sujet du timbre Léonard Foujita
Tokyo 1886-Zurich 1968. Fils d'un général de l'état-major impérial, descendant de samouraïs,
Inscrit aux cours de français dès l'école primaire, Tsuguharu étudie la peinture de style occidental aux Beaux-Arts de Tokyo, obtient son diplôme en 1910 et n'a qu'une idée en tête : aller à Paris. En 1913, il s'embarque finalement pour Marseille et débarque à Paris dans le quartier du Montparnasse le 6 août au matin.
Sa première exposition personnelle chez Chéron en juin 1917 est un triomphe, il expose 110 aquarelles dans un genre mi japonais, mi-gothique que Picasso admire. Avec ses gains, il offre un oiseau à Fernande, qui est à l'origine de cette exposition et installe chez eux une baignoire avec l'eau chaude courante, ce qui fait aussi le bonheur des modèles, dont Kiki de Montparnasse, modèle favori, dont on admire la beauté dans le fameux Nu couché à la toile de Jouy (musée d'art moderne de la ville de Paris). En odalisque alanguie, le nu de Kiki fait sensation au Salon d'automne de 1922 et se vend l'énorme somme de 8 000 F
Source Wikipédia
Auréolé de ses premiers succès de portraitiste, il fait le grand saut et s'installe à Paris en 1913. Aussitôt présenté à Picasso, il découvre l'art du douanier Rousseau. Il décide alors d'oublier tout ce qu'il a appris, pour ensuite tenter une singulière synthèse entre Extrême-Orient et Occident. La gloire arrive dès 1917. Après la guerre, Foujita est fêté dans les salons parisiens, traqué par les photographes et opérateurs de cinéma jusqu'à Deauville. Il est désormais une vedette, et sa célèbre frange de cheveux fait la joie des caricaturistes. Devenu un des phares du Montparnasse des années 20, l'artiste reste en marge des avant-gardes de son temps. Hérité des maîtres de l'estampe japonaise, son dessin virtuose s'allie à une naïveté qui évoque les enlumineurs du Moyen Âge. Marqué par la culture shintoïste, il a su garder intacte l'émotion devant les beautés de la nature, qu'elle prenne la forme d'un nuage, d'une branche fleurie ou d'une femme nue. Le miracle de sa peinture est de transcrire la fraîcheur première de cette émotion dans une technique sophistiquée. Sur le fond blanc de la toile polie comme la laque, il trace d'un pinceau léger les contours qu'il remplit de couleurs diaphanes. Il excelle dans tous les genres, nature morte, nu, portrait, paysage, scènes religieuses. Il peint avec le même émerveillement les taquineries d'un chat que les ruelles pittoresques du vieux Paris. Converti au catholicisme en 1959, il se donnera pour prénom Léonard, en hommage au plus grand des dessinateurs : V i n c i .
REF Jérôme Coignard
Fermer