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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 20/10/2024

Mgr Denis-Auguste Affre (1793-1848) 126e archevêque de Paris


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1948

 

 

Vente générale : 5 avril 1948
Retrait de la vente : 19 septembre 1948
Valeur faciale : 20 f + 8 f
Graveur : Emile Feltesse

Dessinateur : Paul Pierre Lemagny

Département concerné par ce timbre : Aveyron
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : violet
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 2.000.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 802
Catalogue Spink / Maury France : N° 802
Catalogue Michel : N° FR 820
Catalogue Scott : N° FR B231
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,94 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 0,50 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,88 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Hommes politiques, militaires, rois, marchands

 


Informations sur le sujet du timbre

Denys Auguste Affre

né à Saint-Rome-de-Tarn (Aveyron), le 27 septembre 1793, et mort à Paris, le 27 juin 1848, fut le 126e archevêque de Paris. Pendant les insurrections de juin 1848, il crut que sa présence près des barricades pût être un moyen de ramener la paix. Il fut accueilli dans la stupeur, mais à peine eut-il prononcé quelques mots qu'un coup de feu partit des lignes de la Garde nationale et relança les hostilités. On l'amena au presbytère de Saint-Antoine, et il fut ramené le lendemain à l'hôtel Chenizot au 51 rue Saint-Louis en l'Ile, devenu sa résidence depuis 1846, où il mourut le 27 juin, vers 4 h 30 du matin.
Source : divers documents internet dont Wikipédia

 

Denys Auguste Affre

born in Saint-Rome-de-Tarn (Aveyron) on 27 September 1793, died in Paris on 27 June 1848, was the 126th archbishop of Paris. During the June 1848 insurrections, he believed that his presence near the barricades could be a means of bringing peace. He was greeted in stupor, but as soon as he had uttered a few words a shot came from the lines of the National Guard and revived the hostilities. He was brought to the presbytery of Saint-Antoine, and the next day he was taken back to the Chenizot hotel at 51 rue Saint-Louis in l'Ile, which had been his residence since 1846, where he died on 27 June, at about 4:30 a.m.
Source : various Internet documents including Wikipedia

 

 

 

 

 

 

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