Fermer

 

Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 26/10/2024

Tour abbatiale de Saint-Amand-les-Eaux


Timbre : Courant / moderne



Voir tous les timbres courants de l'année 1977

Listage des timbres de l'année 1977

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Saint-Amant-les-Eaux le 17 septembre 1977

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Saint-Amant-les-Eaux le 17 septembre 1977
Vente générale : 19 septembre 1977
Retrait de la vente : 8 décembre 1978
Valeur faciale : 1 f 40
Graveur : Claude Andréotto

Dessinateur : Claude Andréotto

Département concerné par ce timbre : Nord
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : lilas-brun lilas-rouge et vert-bleu
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm ( image 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : Pas d'information fiable
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1948
Catalogue Spink / Maury France : N° 1949
Catalogue Michel : N° FR 2045
Catalogue Scott : N° FR 1553
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,20 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,13 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Chateaux, ponts, cathédrale, églises, villas

 


Informations sur le sujet du timbre

L'abbaye Saint-Amand-les-Eaux

est fondée sur un vaste terrain au confluent de la Scarpe et de l'Elnon, dans la forêt de Vicoigne, par le moine Amand de Maastricht vers l'an 633-639, sous le patronage de Dagobert Ier. En 679 saint Amand de Maastricht y meurt. Elle conserve longtemps le nom d'Elnon avant de prendre le nom de Saint-Amand, en mémoire de son fondateur.
L'abbaye, outre un travail de défrichage et d'aménagement des environs, devient un foyer d'études majeur de la renaissance carolingienne. Milon de Saint-Amand, auteur d'une Vie de saint Amand, y est notamment actif. Anéantie par les Normands à la fin du IXe siècle, l'abbaye est entièrement rebâtie au XVIIe siècle, par l'abbé Nicolas du Bois, selon un plan grandiose et admiré.
Elle est incendiée cinq fois : en 883, en 1066, 1340, 1424 et 1477.
En 1672, Dom Mabillon y découvre à la fin d'un manuscrit du poète chrétien Grégoire de Naziance un texte du Xe siècle en langue germanique, le Ludwigslied, qui commémore la victoire de l'armée franque de Louis III sur les Normands le 3 août 881 à Saucourt-en-Vimeu. Ce texte est aujourd'hui considéré comme l'un des plus anciens témoignages écrits de la langue germanique.
À la Révolution, l'abbaye est déclarée bien national, et détruite entre 1797 et 1820.
Au début du XXIe siècle, seuls subsistent et se visitent l'échevinage et la tour de l'église. Cette dernière accueille le Musée municipal de la tour abbatiale de Saint-Amand-les-Eaux.
Source Wikipédia

 

The abbey of Saint-Amand-les-Eaux

was founded on a vast land at the confluence of the Scarpe and the Elnon, in the forest of Vicoigne, by the monk Amand of Maastricht around 633-639 under the patronage of Dagobert I. In 679, St. Amand of Maastricht died there it retained the name Elnon for a long time before taking the name Saint-Amand, in memory of its founder.
The abbey, in addition to clearing and redeveloping the surroundings, became a major centre of study for the Carolingian renaissance. Milon de Saint-Amand, author of a Vie de saint Amand, is active there. Destroyed by the Normans at the end of the 9th century, the abbey was completely rebuilt in the 17th century by the abbot Nicolas du Bois, according to a grandiose and admired plan.
It was set on fire five times: in 883, in 1066, in 1340, in 1424 and in 1477.
In 1672, Dom Mabillon discovered there at the end of a manuscript by the Christian poet Grégoire de Naziance a 10th-century text in Germanic language, the Ludwigslied, which commemorates the victory of the Frankish army of Louis III over the Normans on 3 August 881 at Saucourt-en-Vimeu. This text is now considered one of the oldest written testimonies of the Germanic language.
During the Revolution, the abbey was declared a national property and destroyed between 1797 and 1820.
At the beginning of the 21st century, only the church tower and the stump remain. The latter hosts the Musée municipal de la tour abbatiale de Saint-Amand-les-Eaux.
Source Wikipedia

 

 

 

 

 

 

Fermer

 

Cette page a été visitée 12 005 618 fois depuis le 1er mai 2022