Fermer

 

Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 26/10/2024

Thiers (Puy de Dôme) capitale française de la coutellerie


Timbre : Courant / moderne



Voir tous les timbres courants de l'année 1976

Listage des timbres de l'année 1976

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Thiers le 9 octobre 1976

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Thiers le 9 octobre 1976
Vente générale : 11 octobre 1976
Retrait de la vente : 21 juillet 1978
Valeur faciale : 1f 70
Graveur : Eugène Lacacque
Dessinateur : Marie-Noëlle Goffin

Département concerné par ce timbre : Puy-de-Dôme
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : bleu vert-olive et brun-lilas
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm ( image 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : Pas d'information fiable
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1904
Catalogue Spink / Maury France : N° 1904
Catalogue Michel : N° FR 1994
Catalogue Scott : N° FR 1472
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,25 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,08 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Capitales, villes, places et rues

 


Informations sur le sujet du timbre

Thiers

ville d'origine celte, devenue sous-préfecture du Puy-de-Dôme, vous attend du haut de son éperon rocheux.
Sur les bords de la Durolle, Thiers aiguise depuis cinq siècles l'art de la coutellerie. Au XVIème siècle, on comptait déjà cent soixante-dix maîtres couteliers. Aujourd'hui, cette ville étagée à flanc de ravin, où François Truffaut tourna «L' Argent de poche», produit encore 70% des couteaux, rasoirs, ustensiles de cuisine, matériel chirurgical et autres objets tranchants. Un thiernois sur trois travaille pour ou autour du couteau, dans cent quatre-vingt-douze entreprises, dont 70% sont restées artisanales. Du laguiole au bijou d'or et de nacre, en passant par le couteau de berger. Thiers ne se laisse pas endormir. En 1994, la ville a créé son propre couteau, le Thiers, pour damer le pion au fameux laguiole. La tradition en remonte au Moyen-âge, quand des croisés auvergnats rapportèrent d'Orient les secrets de la fabrication des lames. Les techniques ont évolué, mais l'image de l'émouleur, allongé à plat ventre au-dessus de sa meule, un chien couché sur ses jambes pour lui tenir chaud, reste emblématique de la ville
Source : divers documents internet dont Wikipédia

 

Thiers

city of Celtic origin, now sub-prefecture of the Puy-de-Dôme, awaits you from the top of its rocky outcrop.
On the banks of the Durolle, Thiers has been sharpening the art of cutlery for five centuries. In the 16th century, there were already one hundred and seventy master cutlers. Today, this town on the side of a ravine, where François Truffaut shot «L'Argent de poche», still produces 70% of knives, razors, kitchen utensils, surgical equipment and other sharp objects. One in three Thiers works for or around the knife, in one hundred and ninety-two companies, 70% of which remain artisanal. From laguiole to gold and mother-of-pearl jewelry, through the shepherd’s knife. Thiers does not let himself fall asleep. In 1994, the city created its own knife, the Thiers, to beat the famous laguiole. The tradition dates back to the Middle Ages, when Auvergne crusaders brought back from the East the secrets of blade making. Techniques have evolved, but the image of the bulldozer, lying flat on his stomach above his wheel, a dog lying on his legs to keep him warm, remains emblematic of the city
Source : various Internet documents including Wikipedia

 

 

 

 

 

 

Fermer

 

Cette page a été visitée 12 010 806 fois depuis le 1er mai 2022