Fermer

 

Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 21/10/2024

Gustave Courbet (1819-1877) Peintre, sculpteur


Timbre : Courant / moderne



Voir tous les timbres courants de l'année 1958

Listage des timbres de l'année 1958

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Ormans le 7 juin 1958

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Ormans le 7 juin 1958
Vente générale : 9 juin 1958
Retrait de la vente : 29 novembre 1958
Valeur faciale : 15 f + 5 f
Graveur : Jean Pheulpin

Dessinateur : Paul Pierre Lemagny

Département concerné par ce timbre : Doubs
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : outremer
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 1.200.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1169
Catalogue Spink / Maury France : N° 1169
Catalogue Michel : N° FR 1205
Catalogue Scott : N° FR B324
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,59 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 0,41 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,50 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Peintres, sculpteurs, tableaux, architects

 

Informations complémentaires
Gustave Courbet (1819-1877) Peintre, sculpteur 

Gustave Courbet (Image Wikipédia)

 

De gauche à droite : Joachim du Bellay, Jean Bart, Denis Diderot, Gustave Courbet, J-B Carpeaux et Toulouse-Lautrec
Source : divers documents internet dont Wikipédia

Informations sur le sujet du timbre

Gustave Courbet

né le 10 juin 1819 à Ornans, près de Besançon (Doubs), et mort le 31 décembre 1877 à La Tour-de-Peilz en Suisse, est un peintre et sculpteur français, chef de file du courant réaliste.
En 1849, Courbet revient à Ornans où son père Régis lui a aménagé un atelier de fortune dans le grenier de la maison familiale. Il y composera certaines de ses oeuvres les plus monumentales. Ce retour aux sources, dans son pays natal, va changer sa manière de peindre : il abandonne le style romantique de ses premiers autoportraits et de sa Nuit de Walpurgis. Inspiré par son terroir, il crée un style qu'il qualifie lui-même de réalisme.
En 1850, il peint Les Paysans de Flagey revenant de la foire, exposé au musée de Besançon. L'oeuvre fera scandale. Les Baigneuses de 1853 a créé beaucoup de controverse, on voit deux femmes, dont une nue avec un voile
Ses idées républicaines et socialistes lui font refuser la Légion d'honneur, proposée par Napoléon III. Ruiné après la chute de la Commune, ses biens mis sous séquestre, ses toiles confisquées. Il s'exile en Suisse, à La Tour-de-Peilz, près de Vevey. Par solidarité avec ses compatriotes exilés de la Commune de Paris, Courbet refusa toujours de retourner en France avant une amnistie générale. Sa volonté fut respectée, et son corps fut inhumé à La Tour-de-Peilz le 3 janvier 1878, après sa mort survenue le 31 décembre 1877. Sa dépouille a été transférée à Ornans en 1919.
Source Wikipédia

 

Gustave Courbet

born 10 June 1819 in Ornans, near Besançon (Doubs), and died 31 December 1877 at La Tour-de-Peilz in Switzerland, is a French painter and sculptor, leader of the realist movement.
In 1849, Courbet returned to Ornans where his father Régis set up a makeshift workshop for him in the attic of the family home. He will compose some of his most monumental works. This return to his native country will change the way he paints: he abandons the romantic style of his first self-portraits and his Walpurgis Night. Inspired by his terroir, he creates a style that he himself calls realism.
In 1850, he painted Les Paysans de Flagey revenant de la foire, exhibited at the museum of Besançon. The work will cause a scandal. Les Baigneuses de 1853 created a lot of controversy, we see two women, one naked with a veil
His republican and socialist ideas make him refuse the Legion of Honor, proposed by Napoleon III. Ruined after the fall of the Commune, his property placed under escrow, his paintings confiscated. He went into exile in Switzerland, at La Tour-de-Peilz, near Vevey. In solidarity with his fellow exiles from the Paris Commune, Courbet always refused to return to France before a general amnesty. His will was respected, and his body was buried at La Tour-de-Peilz on 3 January 1878, after his death on 31 December 1877. His remains were transferred to Ornans in 1919.
Source Wikipedia

 

 

 

 

 

 

Fermer

 

Cette page a été visitée 12 006 199 fois depuis le 1er mai 2022