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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 15/11/2024

Puvis de Chavannes 1824-1898

«Le bois sacré cher aux arts et aux muses»


D'après l'œuvre «Le bois sacré cher aux arts et aux muses», Pierre Puvis de Chavannes, 1884. Image © Lyon MBA - Photo G. Dufrene.

Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 2024

 

Oblitération 1er jour le 25 et 26 octobre 2024<br>- Au carré d'Encre de 10h à 19h, 13 bis rue des Mathurins, 75009 PARIS<br>- Musée de Picardie, le vendredi de 9h30 à 18h et le samedi de 11h à 18h, 2 rue Puvis de Chavannes, 80000 AMIENS.<br>- Bureau de poste de Lyon Croix-Rousse, le vendredi de 10h à 12h et de 14h à 17h et le samedi de 9h à 11h, 167 boulevard de La Croix-Rousse, 69004 LYON.
Cachet premier jour créé par : Philippe Apeloig

 

Premier jour : Oblitération 1er jour le 25 et 26 octobre 2024
- Au carré d'Encre de 10h à 19h, 13 bis rue des Mathurins, 75009 PARIS
- Musée de Picardie, le vendredi de 9h30 à 18h et le samedi de 11h à 18h, 2 rue Puvis de Chavannes, 80000 AMIENS.
- Bureau de poste de Lyon Croix-Rousse, le vendredi de 10h à 12h et de 14h à 17h et le samedi de 9h à 11h, 167 boulevard de La Croix-Rousse, 69004 LYON.
Vente générale : 28 octobre 2024
Valeur faciale : 23.22 €
Affranchissement le plus courant : Lettre verte 100g pour la France, Andorre et Monaco
Dessinateur : Œuvre de Pierre PUVIS DE CHAVANNES
Mise en page: Philippe Apeloig
Département concerné par ce timbre : Rhône
Dentelure : 13¼ x 13
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : héliogravure
Format du timbre : 135 x 143 mm
Quantité émis : 49.800.
Présentation : Feuille de 9 timbres
Bande phosphore : sans

 


Thématique catégorie : Peintres, sculpteurs, tableaux, architects

 

Informations complémentaires
Le timbre reprend le détail d'une oeuvre conservée au Musée des Beaux-Arts de Lyon Le bois sacré cher aux arts et aux muses. Il est sublimé par une dorure à chaud apposée sur Puvis de Chavannes 1824-1898 sur le timbre et la feuille.
Source : divers documents internet dont Wikipédia

Informations sur le sujet du timbre

Pierre Puvis de Chavannes

naît à Lyon en 1824, d’un père ingénieur des Mines et d’une mère descendante d’une famille lyonnaise. Au cours de sa jeunesse, ne songeant pas encore à une carrière d’artiste, il se prépare au concours d’entrée à l’École polytechnique mais sa santé fragile le contraint à renoncer à ses études.
Après un voyage en Italie en 1846, il décide de se former à la peinture et rejoint Paris, où il intègre, chaque fois brièvement, les ateliers prestigieux d’Henry Scheffer, Eugène Delacroix et Thomas Couture.
En 1859, il attire enfin l’attention des critiques avec Un retour de chasse, exposé au Salon. Deux ans plus tard, l’État achète Concordia, une composition monumentale aujourd’hui conservée au musée d’Amiens avec son pendant offert par l’artiste, Bellum. Il s’illustre ainsi dans la réalisation de grands décors muraux, courants sous la Troisième République, pour orner les musées d’Amiens, de Marseille et de Rouen, l’hôtel de ville de Poitiers puis celui de Paris ou encore l’amphithéâtre de la Sorbonne. Il peint également des toiles pour le Panthéon. La Ville de Lyon le sollicite en 1883 pour le décor du nouvel escalier monumental du Palais des Arts. L’artiste peint Le Bois sacré cher aux Arts et aux Muses, un paysage baigné par la lumière du soir peuplé de figures idéalisées. Dans les tons mats qui rappellent l’art de la fresque, qu’il avait admiré en Italie.
Source © La Poste – Salima Hellal, conservatrice en charge des objets d'art, Musée des Beaux-Arts de Lyon

 

Pierre Puvis de Chavannes

was born in Lyon in 1824, his father was an engineer from the mines and his mother was a descendant of a family from Lyon. In his youth, not yet thinking of an artistic career, he prepared for the entrance exam at the École polytechnique but his fragile health forced him to give up his studies.
After a trip to Italy in 1846, he decided to study painting and moved to Paris, where he joined, each time briefly, the prestigious workshops of Henry Scheffer, Eugène Delacroix and Thomas Couture.
In 1859, It finally attracts the attention of critics with A return of hunting, exhibited at the Salon. Two years later, the state purchased Concordia, a monumental composition now in the Musée d'Amiens with its counterpart, Bellum. He was thus distinguished in the realization of large wall decorations, common during the Third Republic, to adorn the museums of Amiens, Marseille and Rouen, the city hall of Poitiers then that of Paris or the amphitheatre of the Sorbonne. He also painted paintings for the Panthéon. The city of Lyon asked him in 1883 to decorate the new monumental staircase of the Palais des Arts. The artist paints Le Bois sacré cher aux Arts et aux Muses, a landscape bathed by evening light populated by idealized figures. In the matt tones that recall the art of the fresco, which he had admired in Italy.
Source © La Poste – Salima Hellal, curator in charge of objects of art, Musée des Beaux-Arts de Lyon

 

 

 

 

 

 

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