Fermer

 

Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 21/10/2024

Jean Goujon (1510-1567) sculpteur


Timbre : Courant / moderne



Voir tous les timbres courants de l'année 1956

Listage des timbres de l'année 1956

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Paris le 9 juin 1956

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris le 9 juin 1956
Vente générale : 11 juin 1956
Retrait de la vente : 6 juillet 1957
Valeur faciale : 12 f + 3 f
Graveur : Charles Paul Dufresne

Dessinateur : Louis Muller

Dentelure : Dentelé 13
Couleur : gris violet
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 1.100.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1067
Catalogue Spink / Maury France : N° 1067
Catalogue Michel : N° FR 1095
Catalogue Scott : N° FR B304
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 1,44 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 1,00 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 1,50 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Peintres, sculpteurs, tableaux, architects

 


Informations sur le sujet du timbre

Jean Goujon

né vers 1510, probablement en Normandie, et mort probablement à Bologne, vers 1566, est un sculpteur et architecte français.
Ses premières oeuvres connues datent de 1541 lorsqu'il réalise les bas-reliefs du château d'Écouen pour la famille de Montmorency, les portes de Saint-Maclou et le tombeau de Louis de Brézé à Rouen.
En 1544, on le retrouve à Paris au jubé de l'église Saint-Germain-l'Auxerrois où il témoigne de sa parfaite connaissance de l'art antique classique. Les reliefs du jubé, détruit en 1745, sont conservés au musée du Louvre (Déploration du Christ, Les Quatre Évangélistes). On retrouve la même fluidité plastique dans le traitement des reliefs de la Fontaine des Innocents (encore en place mais modifiée au XVIIIe siècle – les reliefs du soubassement sont au Louvre), exécutée pour l'entrée du roi Henri II à Paris en 1549. Il exécute aussi les dessins pour les gravures de la relation imprimée de l'entrée royale. Il travaille aussi à la Tribune des Cariatides de la Salle des Gardes. Un arrêt de libération du 27 septembre 1555 nous apprend qu'il avait été emprisonné à la requête du bailli d'Étampes, où il avait travaillé, cela ne l'empêchent pas d'être choisi comme sculpteur pour le palais royal du Louvre lorsqu'il est libéré.
Il est vraisemblable que Jean Goujon quitte la France à la fin de l'année 1562, toujours pour des raisons religieuses. Sa présence est attestée à Bologne fin 1563 et début 1564
Source : divers documents internet dont Wikipédia

 

Jean Goujon

born around 1510, probably in Normandy, and died probably in Bologna, around 1566, was a French sculptor and architect.
His first known works date from 1541 when he made the bas-reliefs of the castle of Écouen for the family of Montmorency, the doors of Saint-Maclou and the tomb of Louis de Brézé in Rouen.
In 1544, we find him in Paris at the jube of the church Saint-CharlesGermain-l'Auxerrois where he testifies of his perfect knowledge of classical ancient art. The reliefs of the jube, destroyed in 1745, are kept at the Louvre museum (Déploration du Christ, Les Quatre Évangélistes). The same plastic fluidity is found in the treatment of the reliefs of the Fontaine des Innocents (still in place but modified in the 18th century – the reliefs of the basement are at the Louvre), executed for the entrance of King Henry II to Paris in 1549. He also executed the drawings for the engravings of the printed relation of the royal entrance. He also works at the Tribune des Cariatides in the Salle des Gardes. A release order of September 27, 1555 tells us that he had been imprisoned at the request of the bailiff of Étampes, where he had worked, this does not prevent him from being chosen as sculptor for the royal palace of the Louvre when he is released.
It is likely that Jean Goujon left France at the end of 1562, again for religious reasons. His presence is attested in Bologna at the end of 1563 and beginning of 1564
Source : various Internet documents including Wikipedia

 

 

 

 

 

 

Fermer

 

Cette page a été visitée 12 002 600 fois depuis le 1er mai 2022