Fermer

 

Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 13/12/2024

 

Oblitération 1er jour au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins, 75009 PARIS le 6 et 7 mai 2022
Cachet premier jour créé par : Isabelle Simler

 

Premier jour : Oblitération 1er jour au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins, 75009 PARIS le 6 et 7 mai 2022
Vente générale : 9 mai 2022
Retrait de la vente : 31 mai 2024
Valeur faciale : Sans (Validité permanente)
Valeur fiducière à la date d'émission : 1.16 €
Affranchissement le plus courant : Lettre verte 20g pour la France, Andorre et Monaco
Création : Isabelle Simler

Mise en page : Isabelle Simler

Dentelure : 11¼
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Héliogravure
Format du timbre : 24 X 38 mm
Quantité émis : 4.500.000.
Présentation : Carnet de 12 timbres-poste autocollants
Bande phosphore : 1 barre à droite
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 2141
Catalogue Michel : N° FR 8181
Catalogue Scott : N° FR 6221
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,63 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,20 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Fleurs, arbres, plantes, champigons, forêts, jardins

 


Informations sur le sujet du timbre

La bêtise de Cambrai

est une friandise élaborée à Cambrai, et dont la recette serait issue d'une erreur. Deux fabricants perpétuent la tradition de la Bêtise de Cambrai et s'en disputent la paternité : les confiseries Afchain et Despinoy
L'origine de ce bonbon remonterait au XIXe siècle (1830 d'après Afchain).
Deux entreprises, Afchain et Despinoy se disputent la paternité de l'invention des bêtises de Cambrai
Voici la version Afchain2: « Vers 1830, Émile Afchain, apprenti confiseur chez ses parents, confiseurs à Cambrai, fait une erreur en préparant les berlingots de la semaine à venir : il y laisse tomber accidentellement de la menthe, et n’en dit mot. Pour camoufler sa maladresse, il tire sur la pâte jusqu'à ce qu'elle blanchisse. » Ses parents les mettent en vente le dimanche suivant comme d’habitude. La semaine suivante les clients redemandent de ces berlingots qui avaient si bon goût. Les parents récupèrent la bêtise de leur fils, lui demandent sa recette et la commercialisent. Émile créera plus tard officiellement les Bêtises de Cambrai.
Dans la version de Despinoy, c'est une erreur de dosage et cuisson commise par Jules Despinoy.
Depuis 1992, la Bêtise de Cambrai figure sur la liste du Patrimoine culinaire du Nord-Pas-de-Calais, et depuis 1994 du patrimoine national des spécialités de France de confiserie, chocolaterie, biscuiterie
Source Wikipédia

 

The stupidity of Cambrai

is a delicacy elaborated in Cambrai, and whose recipe would have come from an error. Two manufacturers continue the tradition of Stupidity of Cambrai and dispute paternity: the confectioneries Afchain and Despinoy
The origin of this candy dates back to the nineteenth century (1830 according to Afchain).
Two companies, Afchain and Despinoy are contending for the authorship of the invention of Cambrai’s nonsense
Here is the version Afchain2: Around 1830, Émile Afchain, apprentice confectioner at his parents, confectioners in Cambrai, makes a mistake in preparing the next week’s candies: he accidentally drops mint on them, and says nothing about it. To cover his clumsiness, he pulls on the dough until it bleaches His parents put them on sale the following Sunday as usual. The following week, customers ask again for those candies that tasted so good. The parents take their son’s stupidity, ask for his recipe and sell it. Émile will later officially create the Bêtises de Cambrai.
In Despinoy’s version, it is a dosing and cooking error committed by Jules Despinoy.
Since 1992, the Bêtise de Cambrai appears on the list of the Culinary heritage of the NorthPas-de-Calais, and since 1994 of the national heritage of the specialties of France of confectionery, chocolaterie, biscuiterie
Source Wikipedia

 

 

 

 

 

 

Fermer

 

Cette page a été visitée 14 342 995 fois depuis le 1er mai 2022