TIMBRES DE FRANCE
Ex : 50 c
Ex : 456
Ex : Appel du 18 juin
Ex : 1900
Ex : Femme
mini 4 lettres
Création du site : Juillet 2005
Nombre de visiteurs : 31.258.009
Nombre de pages : 107.235.084
Dernière mise à jour 18-11-2024
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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 20/10/2024
Madame de Sévigné (1626-1696) femme de lettres
Timbre : Courant / moderne
Voir tous les timbres courants de l'année 1950
Listage des timbres de l'année 1950
Premier jour : Oblitération 1er jour à Grignan le 25 novembre 1950
Vente générale : 27 novembre 1950
Retrait de la vente : 5 mai 1951
Valeur faciale : 15 f
Graveur : Achille Ouvré
Dessinateur : Achille Ouvré
Département concerné par ce timbre : Paris
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : bleu clair
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 3.000.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 874
Catalogue Spink / Maury France : N° 874
Catalogue Michel : N° FR 892
Catalogue Scott : N° FR 642
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,20 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 0,14 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,13 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Thématique catégorie : Poètes, écrivains, philosophes, historiens
Informations sur le sujet du timbre
Madame de Sévigné
Née le 5 février 1626 à Paris, Marie de Rabutin-Chantal, baronne de Sévigné, dite la marquise de Sévigné, marque la gloire du style épistolier au XVIIème siècle. Ses écrits sont émaillés d'un vocabulaire à la fois divertissant et intelligent. Quand son mari est tué lors d'un duel contre Miossens, chevalier d'Albret pour Madame Gondran, sa maîtresse. Elle décide alors de vivre à Paris pour se consacrer exclusivement à l'éducation de ses enfants et à sa vie mondaine. Elle présenta sa fille à la cour, et la maria en 1669 au comte de Grignan, deux fois veuf, et lieutenant général en Provence. Mme de Grignan dut, en 1671, rejoindre son mari. Cette séparation fut douloureuse : Mme de Sévigné idolâtrait sa fille. Et nous lui devons la plus grande et la plus vivante partie des lettres de la marquise. C'est donc pour distraire sa fille, qui s'ennuyait au milieu des fêtes et des tracasseries de la société provençale que Mme de Sévigné entreprend de transposer Paris et Versailles à Aix. Elle lui écrit tous les jours pour la tenir au courant de tout ce qui pouvait l'intéresser mais surtout elle lui parlait de ses sentiments : l'amour maternel, avec toutes ses nuances, tantôt exalté, tantôt inquiet, tantôt désolé, tantôt joyeux. Ces lettres constituent également un témoignage de premier ordre sur les temps de Mme de Sévigné, la société et la cour de Louis XIVSource : divers documents internet dont Wikipédia
Madame de Sévigné
Born on 5 February 1626 in Paris, Marie de Rabutin-Chantal, Baroness of Sévigné, known as the Marquise de Sévigné, marked the glory of the 17th century style of epistolier. His writings are filled with a vocabulary that is both entertaining and intelligent. When her husband is killed in a duel against Miossens, knight of Albret for Madame Gondran, his mistress. She then decides to live in Paris to devote herself exclusively to the education of her children and to her worldly life. She presented her daughter to the court, and married her in 1669 to the count of Grignan, twice widower, and lieutenant general in Provence. Mme de Grignan had to join her husband in 1671. This separation was painful: Mme de Sévigné idolized her daughter. And we owe to her the largest and most vivid part of the letters of the marquise. It is therefore to distract her daughter, who was bored in the midst of the parties and hassles of Provencal society that Madame de Sévigné set about transposing Paris and Versailles into Aix. She writes him every day to keep her informed of everything that could interest her but above all she spoke to him about her feelings: maternal love, with all its nuances, sometimes exalted, sometimes worried, sometimes sorry, sometimes joyful. These letters also constitute a first-rate testimony on the times of Madame de Sévigné, the society and the court of Louis XIVSource : various Internet documents including Wikipedia
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