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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 30/10/2023

Soldats de plomb

Fantassin XVIème siècle


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 2012

 

Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre et Coulonges-sur l'Autize le dimanche 10 juin 2012
Cachet premier jour créé par : Claude Perchat

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre et Coulonges-sur l'Autize le dimanche 10 juin 2012
Vente générale : 18 juin 2012
Retrait de la vente : 29 mars 2013
Valeur faciale : 0.60 €
Affranchissement le plus courant : Lettre jusqu'à 20gr pour la France, Andorre et Monaco
Graveur : Yves Beaujard
Création : Pierre-André Cousin
Dentelure : 13
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce et Offset
Format du timbre : 26 x 40 mm
Quantité émis : 1.700.000
Présentation : Bloc feuillet de 6 timbres
Bande phosphore : 2 bandes
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 4667
Catalogue Spink / Maury France : N° 4596
Catalogue Michel : N° FR 5394
Catalogue Scott : N° FR 4253c
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,46 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,25 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


 


Informations sur le sujet du timbre

Les soldats de plomb

ont été créés pour la première fois en Allemagne, plus précisément à Nuremberg et à Furth, des villes renommées pour leurs fonderies. Ces figurines, appelées « plats d’étain », ont vu le jour vers la fin du XVIIe siècle. À l’origine, elles n’étaient pas destinées à être des jouets, mais étaient utilisées pour enseigner l’art de la guerre aux officiers. C’était une sorte de jeu d’échecs plus complexe, où l’on déplaçait des troupes sur un champ de bataille.
En France, la fabrication de soldats de plomb a commencé en 1838 avec l’entreprise Cuperly et Blondel, qui avait été fondée en 1825 pour la fabrication de bibelots et de jouets. Installée depuis 1994 en Anjou. CBG Mignot perpétue depuis près de deux cents ans la grande tradition des soldats de plomb. Chacune de leurs figurines est toujours coulée, montée et minutieusement peinte à la main, selon des procédés ancestraux où la main et l’œil de l’ouvrier ont gardé leurs privilèges.
Source : divers documents internet dont Wikipédia

 

 

 

 

 

 

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