TIMBRES DE FRANCE
Ex : 50 c
Ex : 456
Ex : Appel du 18 juin
Ex : 1900
Ex : Femme
mini 4 lettres
Création du site : Juillet 2005
Nombre de visiteurs : 31.273.297
Nombre de pages : 107.253.582
Dernière mise à jour 18-11-2024
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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 22/10/2024
10ème anniversaire de l'O.T.A.N
Timbre : Courant / moderne
Voir tous les timbres courants de l'année 1959
Listage des timbres de l'année 1959
Cachet premier jour
Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris le 14 décembre 1959
Vente générale : 14 décembre 1959
Retrait de la vente : 21 mai 1960
Valeur faciale : 50 f
Graveur : Charles Mazelin
Dessinateur : Charles Mazelin
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : vert outremer et brun lilas
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 40 x 26 mm (vignette 36 x 21,45 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 4.325.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1228
Catalogue Spink / Maury France : N° 1228
Catalogue Michel : N° FR 1272
Catalogue Scott : N° FR 937
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,28 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 0,20 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,10 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Informations sur le sujet du timbre
Alarmés par le «coup de Prague» du 25 février 1948, les États-Unis, le Canada et dix pays d'Europe de l'Ouest veulent de cette façon contenir une éventuelle agression du bloc communiste aux ordres de Staline. Pour la mise en oeuvre de leurs résolutions, ils fondent l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
Les membres européens sont la Belgique, le Danemark, la France, l'Italie, l'Islande, le Luxembourg, la Norvège, les Pays-Bas, le Portugal et le Royaume-Uni. La Grèce et la Turquie adhèrent à l'organisation peu après sa création ainsi que la République fédérale allemande.
Cet organisme international issu du traité de Washington est chargé de coordonner les actions militaires de ses membres. C'est une alliance défensive qui ne dit pas son nom. Elle est placée sous l'autorité du Conseil atlantique. Son siège est dans un premier temps établi à Paris.
En 1966, le général de Gaulle, président de la République française, décide de retirer son pays des organes opérationnels de l'OTAN sans cesser d'appartenir à l'alliance. Il veut que la France conserve la pleine maîtrise de sa force de dissuasion nucléaire sans avoir de compte à rendre à quiconque.
Au début des années 1980, l'OTAN réagit avec succès à la menace que représentent les missiles SS20 déployés par l'URSS en Europe centrale : elle menace de déployer le long du rideau de fer des missiles de croisière Pershing-2 (surnommés les «Euromissiles») et les Soviétiques préfèrent retirer leurs propres fusées.
Source : divers documents internet dont Wikipédia
Alarmed by the «Prague coup» of 25 February 1948, the United States, Canada and ten countries of Western Europe want to contain in this way a possible aggression of the communist bloc under Stalin’s orders. For the implementation of their resolutions, they founded the North Atlantic Treaty Organization (NATO).
European members are Belgium, Denmark, France, Italy, Iceland, Luxembourg, Norway, the Netherlands, Portugal and the United Kingdom. Greece and Turkey join the organization shortly after its creation, as does the Federal Republic of Germany.
This international body created by the Washington Treaty is responsible for coordinating the military actions of its members. It is a defensive alliance that does not say its name. It is placed under the authority of the Atlantic Council. Its headquarters were initially established in Paris.
In 1966, General de Gaulle, the president of the French Republic, decided to withdraw his country from NATO’s operational bodies without ceasing to belong to the alliance. He wants France to retain full control of its nuclear deterrent without having to answer to anyone.
In the early 1980s, NATO successfully responded to the threat posed by the SS20 missiles deployed by the USSR in Central Europe: it threatened to deploy along the Iron Curtain cruise missiles Pershing-2 (nicknamed the «Euromissiles») and the Soviets prefer to remove their own rockets.
Source : various Internet documents including Wikipedia
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