TIMBRES DE FRANCE
Ex : 50 c
Ex : 456
Ex : Appel du 18 juin
Ex : 1900
Ex : Femme
mini 4 lettres
Création du site : Juillet 2005
Nombre de visiteurs : 34.839.259
Nombre de pages : 113.737.824
Dernière mise à jour 18-04-2025
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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 10/04/2025

Colmar
98e Congrès de la fédération des associations philatéliques
D'après photographies Place de la Cathédrale © Jérôme Birling / Ville de Colmar
Timbre : Courant / moderne
André LAVERGNE animera une séance de dédicaces le vendredi 6 juin (horaires en attente) - Sandrine CHIMBAUD animera une séance de dédicaces le vendredi 6 juin de 10h30 à 12h30.Voir tous les timbres courants de l'année 2025
Listage des timbres de l'année 2025



Premier jour : Oblitération 1er jour du 6 au 9 juin 2025
- Au carré d'Encre de 10h à 19h, 13 bis rue des Mathurins, 75009 PARIS (Fermé le lundi, Oblitération jusqu’à 17h).
- De 10h à 18h du vendredi 6 au dimanche 8 juin et de 10h à 16h le lundi 9 juin, au Parc des Expositions de Colmar, AVENUE DE LA FOIRE AUX VINS 68000 COLMAR.
Vente générale : 10 juin 2025
Valeur faciale : 1.39 €
Affranchissement le plus courant : Lettre verte 20g pour la France, Andorre et Monaco
Graveur : André Lavergne
Création : Sandrine Chimbaud
Dentelure : 13¼ x 13
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 40 x 30 mm Timbre 26 x 30 mm Vignette
Quantité émis : 702.000.
Présentation : Feuille de 10 timbres
Bande phosphore : 1 barre à droite
Thématique catégorie : Congrès et expositions
Informations sur le sujet du timbre
Corlmar
Le vieux Colmar s’organise autour de la collégiale Saint-Martin, édifiée au XIIIe siècle, œuvre majeure de l’architecture gothique en Alsace, et se découvre en flânant au gré de ses ruelles. On ne se lasse pas d’admirer les bâtisses médiévales à colombages souvent décorées d’enseignes dont les plus anciennes datent du XVe siècle. On navigue aussi sur les canaux de la Petite Venise et on déambule dans le quartier des Tanneurs aux originales habitations en hauteur, dont les greniers servaient à faire sécher les peaux. Les édifices racontent l’époque de l’origine de la puissance économique de la cité. Au premier étage du Koïfhus, plus ancien bâtiment public de Colmar (1480), des vitraux aux armes des villes de la Décapole évoquent cette puissante ligue qui réunit de 1354 à 1679 dix villes libres alsaciennes au sein du Saint-Empire romain germanique. La maison Pfister (1537) ou encore la maison des Têtes (1609), de style Renaissance allemande, comme tant d’autres maisons bourgeoises de Colmar, témoignent de la prospérité des marchands colmariens. On vient de loin pour contempler le bouleversant retable d’Issenheim, trésor du musée Unterlinden. Ce chef-d’œuvre de Grünewald, l’un des plus grands peintres allemands de la fin du XVe siècle, déroule sur huit panneaux des scènes peuplées d’anges multicolores, de monstres féroces et surtout d’une crucifixion saisissante de réalisme.Source © La Poste – Fabienne Azire
Corlmar
Old Colmar is organized around the collegiate church of Saint-Martin, built in the thirteenth century, a major work of Gothic architecture in Alsace, and is discovered by strolling through its alleys. We never tire of admiring the medieval half-timbered buildings often decorated with signs, the oldest of which date back to the 15th century. We also sail on the canals of Little Venice and walk in the district of tanners with original high-rise dwellings, whose granaries were used to dry the skins. The buildings tell the story of the origin of the city’s economic power. On the first floor of the Koïfhus, the oldest public building in Colmar (1480), stained-glass windows with arms from the cities of the Decapolis evoke this powerful league that brought together ten free Alsatian towns within the Holy Roman Empire from 1354 to 1679. The Pfister house (1537) or the Maison des Têtes (1609), of German Renaissance style, like so many other bourgeois houses in Colmar, testify to the prosperity of the merchants of Colmar. One comes from far away to contemplate the impressive altarpiece of Issenheim, treasure of the Unterlinden museum. This masterpiece by Grünewald, one of the greatest German painters of the late fifteenth century, unfolds on eight panels scenes populated with multicolored angels, ferocious monsters and above all a striking crucifixion of realism.Source © La Poste – Fabienne Azire
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