TIMBRES DE FRANCE
Ex : 50 c
Ex : 456
Ex : Appel du 18 juin
Ex : 1900
Ex : Femme
mini 4 lettres
Création du site : Juillet 2005
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Nombre de pages : 107.267.596
Dernière mise à jour 18-11-2024
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Métiers d'art
vente anticipée : Oblitération 1er jour au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins, 75009 PARIS le 30 septembre et 1 octobre 2022
Vente générale : 3 octobre 2022
Valeur faciale : 1.65 €
Graveur : Elsa Catelin
Dentelure : 13¼ x 13¼
Couleur : Multicolore
Quantite émis : 30.000.
Bande phosphore : 2 barres
Catalogue Yvert et Tellier : N° 195
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 3,00 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 3,00 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Informations complémentaires
La position de la ville de Dinant favorisa le développement de ce métier du fait de la proximité de gisements de derle, une terre argileuse dont les artisans se servaient pour fabriquer leurs moules, tandis que sa situation sur la Meuse permettait d’acheminer les matières premières. La fortune des villes de Dinant, Namur, Huy ou encore Liège était faite ! Mais cette position stratégique avait aussi un revers : l’opposition entre deux puissances installées chacune sur une rive mosane, qui culmina en 1466 lors du sac de la ville par le Bourguignon Philippe le Bon. De ce moment, les dinandiers quittèrent Dinant pour ne plus y revenir, sonnant ainsi le glas du travail du cuivre. Le XIXe siècle, qui remet le Moyen Âge à l’honneur, permet de redécouvrir le travail du métal martelé. L’un des plus beaux exemples est le maître-autel de la cathédrale de Clermont-Ferrand, exécuté d’après un dessin de Viollet-le-Duc en cuivre martelé. La dinanderie était relancée en France. De nos jours on dénombre une cinquantaine de dinandiers à travers le pays, dont les hauts lieux se trouvent notamment à Villedieu-les-Poêles et Durfort.
Source© La Poste - Élise Herbeaux
Le dinandier
Connaissez-vous Dinant avec un « t » ? Ville sur la Meuse, la cité wallonne est connue au Moyen Âge pour avoir fait naître la dinanderie des mains de ses artisans.La position de la ville de Dinant favorisa le développement de ce métier du fait de la proximité de gisements de derle, une terre argileuse dont les artisans se servaient pour fabriquer leurs moules, tandis que sa situation sur la Meuse permettait d’acheminer les matières premières. La fortune des villes de Dinant, Namur, Huy ou encore Liège était faite ! Mais cette position stratégique avait aussi un revers : l’opposition entre deux puissances installées chacune sur une rive mosane, qui culmina en 1466 lors du sac de la ville par le Bourguignon Philippe le Bon. De ce moment, les dinandiers quittèrent Dinant pour ne plus y revenir, sonnant ainsi le glas du travail du cuivre. Le XIXe siècle, qui remet le Moyen Âge à l’honneur, permet de redécouvrir le travail du métal martelé. L’un des plus beaux exemples est le maître-autel de la cathédrale de Clermont-Ferrand, exécuté d’après un dessin de Viollet-le-Duc en cuivre martelé. La dinanderie était relancée en France. De nos jours on dénombre une cinquantaine de dinandiers à travers le pays, dont les hauts lieux se trouvent notamment à Villedieu-les-Poêles et Durfort.
Source© La Poste - Élise Herbeaux