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LOUIS

 

LOUIS PASTEUR 1822-1895


vente anticipée : Oblitération 1er jour au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins et Musée Pasteur, maison natale de Pasteur, salle Touzet, 39100 Dôle du 4 au 6 février 2022
Vente générale : 7 février 2022mede
Valeur faciale : 1.16 €
Graveur : Pierre Bara
Dentelure : Dentelé
Couleur : brun et vert
Mode d'impression : Taille douce
Quantite émis : 30.000.
Catalogue Yvert et Tellier : N° 188
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 3,00 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 3,00 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 

Informations complémentaires

Louis Pasteur

Ses découvertes ont bouleversé les conceptions de la pathologie infectieuse, influencé la chimie biologique et créé de nouvelles méthodes industrielles, faisant de ce travailleur infatigable l’une des figures mondiales les plus célèbres de la science. Né en 1822 à Dole, Louis Pasteur, reçu à l’École normale supérieure de Paris (1843). Nommé doyen de la faculté des sciences de Lille (1854), Pasteur se penche sur le mécanisme des fermentations. Il établit le rôle et la spécificité de l’action des micro-organismes et montre que la « génération spontanée » des microbes n’existe pas. En 1865, il dépose le brevet de son procédé de conservation des vins par chauffage à l’abri de l’air sous le nom de « pasteurisation », une invention appliquée aujourd’hui à tous les aliments dans le monde entier. Pionnier de la microbiologie, Pasteur prouve que les microbes, parfois porteurs de maladie, se diffusent partout dans l’eau, l’air, sur les objets, la peau. Il isole le staphylocoque, le streptocoque et le pneumocoque. Bouleversant le savoir de son époque par la découverte des germes et de leur rôle, Pasteur a l’idée d’utiliser des agents infectieux pour obtenir l’immunisation de maladies, comme le choléra des poules ou le charbon des moutons, et met au point des vaccins. Après nombre de difficultés, il teste sur l’homme, avec succès, son vaccin contre la rage (1885). Jusqu’à sa mort en 1895, il dirigera l’Institut qui porte à jamais son nom.
Source © La Poste - Fabien Azire