TIMBRES DE FRANCE
Ex : 50 c
Ex : 456
Ex : Appel du 18 juin
Ex : 1900
Ex : Femme
mini 4 lettres
Création du site : Juillet 2005
Nombre de visiteurs : 31.621.497
Nombre de pages : 107.856.419
Dernière mise à jour 02-12-2024
Nombre de visiteurs : 31.621.497
Nombre de pages : 107.856.419
Dernière mise à jour 02-12-2024
Cette bannière est une publicité le site n'a aucune boutique de vente
Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 30/11/2023
Le Familistère de Guise - Aisne
vente anticipée : Oblitération 1er jour au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins, 75009 PARIS et Place du Familistère, 02120 GUISE le 16 et 17 septembre 2022
Vente générale : 19 septembre 2022
Retrait de la vente : 30 septembre 2023
Valeur faciale : 1.65 €
Graveur : Line Filhon
Dentelure : 13¼
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce
Quantite émis : 495.000.
Bande phosphore : 2 barres
Catalogue Yvert et Tellier : N° 5618
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,88 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,43 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Informations complémentaires
Jean-Baptiste André Godin (1817 - 1888) était originaire d'Esquéhéries (Aisne). Son père, serrurier, l'a formé au travail des métaux. Godin a quitté l'école à 11 ans avant d'entamer son tour de France à l'âge de 17 ans. Il a ensuite créé en 1840, à Esquéhéries, un atelier de fabrication de poêles en fonte, poêles pour lesquels il a déposé un brevet la même année
Godin, qui avait été lui-même ouvrier, avait conservé le souvenir des terribles conditions de vie et de travail des salariés de l'industrie Sensible à l'idée de la redistribution aux ouvriers des richesses produites, Godin souhaitait créer une alternative à la société industrielle capitaliste en plein développement et offrir aux ouvriers le confort dont seuls les bourgeois pouvaient alors bénéficier. il entreprit de créer un univers autour de son usine de Guise, le « familistère », dont le mode de fonctionnement était comparable à celui des coopératives ouvrières de production L'idée maîtresse de Godin était l'association du capital et du travail. Il fonda en 1880 une association, le Familistère, et transforma son entreprise en coopérative de production, les bénéfices finançant écoles, caisses de secours, etc.
Source Wikipédia
Le familistère
Étymologiquement « établissement où plusieurs familles ou individus vivent ensemble dans une sorte de communauté et trouvent dans des magasins coopératifs ce qui leur est nécessaire », Le familistère de Guise fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 4 juillet 1991 et son ancien jardin, d'une inscription en 1991Jean-Baptiste André Godin (1817 - 1888) était originaire d'Esquéhéries (Aisne). Son père, serrurier, l'a formé au travail des métaux. Godin a quitté l'école à 11 ans avant d'entamer son tour de France à l'âge de 17 ans. Il a ensuite créé en 1840, à Esquéhéries, un atelier de fabrication de poêles en fonte, poêles pour lesquels il a déposé un brevet la même année
Godin, qui avait été lui-même ouvrier, avait conservé le souvenir des terribles conditions de vie et de travail des salariés de l'industrie Sensible à l'idée de la redistribution aux ouvriers des richesses produites, Godin souhaitait créer une alternative à la société industrielle capitaliste en plein développement et offrir aux ouvriers le confort dont seuls les bourgeois pouvaient alors bénéficier. il entreprit de créer un univers autour de son usine de Guise, le « familistère », dont le mode de fonctionnement était comparable à celui des coopératives ouvrières de production L'idée maîtresse de Godin était l'association du capital et du travail. Il fonda en 1880 une association, le Familistère, et transforma son entreprise en coopérative de production, les bénéfices finançant écoles, caisses de secours, etc.
Source Wikipédia