TIMBRES DE FRANCE
Ex : 50 c
Ex : 456
Ex : Appel du 18 juin
Ex : 1900
Ex : Femme
mini 4 lettres
Création du site : Juillet 2005
Nombre de visiteurs : 31.281.858
Nombre de pages : 107.268.463
Dernière mise à jour 18-11-2024
Nombre de visiteurs : 31.281.858
Nombre de pages : 107.268.463
Dernière mise à jour 18-11-2024
Cette bannière est une publicité le site n'a aucune boutique de vente
Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 27/11/2023
Sainte Odile v.662-720
vente anticipée : Oblitération 1er jour à Paris au carré d'Encre et 9 place des fines herbes, 67210 Obernai le 3 et 4 juillet juin 2020
Vente générale : 6 juillet 2020
Retrait de la vente : 31 juillet 2021
Valeur faciale : 0.97 €
Dentelure : 13¼
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Héliogravure
Quantite émis : 700.000.
Bande phosphore : 1 barre à droite
Catalogue Yvert et Tellier : N° 5410
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,75 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,28 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Informations sur le visuel
Sainte Odile est vêtue de son habit d’abbesse bénédictine et tient une crosse dans la main ainsi qu’un livre où figurent ces yeux symbolisant le fait qu’elle ait retrouvé la vue le jour de son baptême. Au second plan on aperçoit le Mont
Source © La Poste – Antoine Vigne
Sainte Odile est vêtue de son habit d’abbesse bénédictine et tient une crosse dans la main ainsi qu’un livre où figurent ces yeux symbolisant le fait qu’elle ait retrouvé la vue le jour de son baptême. Au second plan on aperçoit le Mont
Informations complémentaires
Sainte Odile
Sa légende se confond avec les pentes boisées du mont vosgien qui porte son nom et domine la plaine d’Alsace et la vallée du Rhin. Odile, officiellement sainte patronne de la région depuis 1946, était la fille du duc Adalric et de sa femme, ereswinde. Le récit le plus ancien relatant sa vie date du Xe siècle, mais elle serait née à l’époque mérovingienne, aux alentours de l’an 662. Espérant un héritier mâle son père renie l’enfant qui, de surcroît, souffre de cécité. Sauvée de la mort par sa mère, elle est envoyée grandir au loin dans une abbaye où saint Erhard, évêque irlandais missionnaire en Bavière, suivant une vision qui lui commande d’aller baptiser une jeune aveugle, lui fait recouvrer la vue et la nomme Odile, « fille de lumière ». Revenue en Alsace, elle crée avec l’aide de son père repenti plusieurs établissements religieux pour accueillir les malades et les nécessiteux, et meurt abbesse, entourée de ses moniales en 720Source © La Poste – Antoine Vigne