TIMBRES DE FRANCE
Ex : 50 c
Ex : 456
Ex : Appel du 18 juin
Ex : 1900
Ex : Femme
mini 4 lettres
Création du site : Juillet 2005
Nombre de visiteurs : 31.283.569
Nombre de pages : 107.271.478
Dernière mise à jour 18-11-2024
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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 27/11/2023
EUROPA
vente anticipée : Oblitération 1er jour à Paris au carré d'Encre et à Strasbourg bureau de poste 1 rue de la fonderie, le 7 et 9 mai 2020
Vente générale : 11 mai 2020
Retrait de la vente : 31 mai 2021
Valeur faciale : 1.40 €
Graveur : Line Filhon
Dentelure : 13¼
Couleur : Polychrome
Mode d'impression : Taille douce
Quantite émis : 800.000.
Bande phosphore : 2 barres
Catalogue Yvert et Tellier : N° 5397
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 1,05 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,38 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Un peu d'histoire
L’histoire des routes de France fut aussi celle des routes de poste à partir du moment où le pouvoir royal, souhaitant s’assurer de la rapide circulation des dépêches officielles, établit la Poste aux chevaux au milieu du XIVe siècle. Cette organisation repose sur deux métiers emblématiques et une infrastructure privée : les postillons accompagnent les sacs de dépêches et les courriers des maîtres de poste, qui ont payé cher le privilège de tenir des relais de poste officiels positionnés toutes les sept lieues. Ce système détermine des routes de poste, fréquemment cartographiées depuis 1632, et entretenues par les ingénieurs des Ponts et Chaussées depuis 1747. Rayonnant d’abord en étoile depuis Paris, le réseau compte 27 destinations en 1790, s’enrichissant ensuite de liaisons transversales permettant de connecter les principales villes du royaume entre elles, jusqu’à compter une quarantaine d’itinéraires. Cette trame routière demeure encore lisible à travers nombre de routes nationales automobiles. Sur ces routes express, le galop est prioritairement l’apanage des parcours « en poste », accessibles aux voyageurs depuis 1794 : on en compte 4 000 en 1815 et 60 000 en 1829 ! Au cœur du XIXe siècle, des allures moyennes de 12 à 14 km par heure sont atteintes.
Source © - La Poste - Sébastien RICHEZ - Comité pour l’histoire de La Poste
L’histoire des routes de France fut aussi celle des routes de poste à partir du moment où le pouvoir royal, souhaitant s’assurer de la rapide circulation des dépêches officielles, établit la Poste aux chevaux au milieu du XIVe siècle. Cette organisation repose sur deux métiers emblématiques et une infrastructure privée : les postillons accompagnent les sacs de dépêches et les courriers des maîtres de poste, qui ont payé cher le privilège de tenir des relais de poste officiels positionnés toutes les sept lieues. Ce système détermine des routes de poste, fréquemment cartographiées depuis 1632, et entretenues par les ingénieurs des Ponts et Chaussées depuis 1747. Rayonnant d’abord en étoile depuis Paris, le réseau compte 27 destinations en 1790, s’enrichissant ensuite de liaisons transversales permettant de connecter les principales villes du royaume entre elles, jusqu’à compter une quarantaine d’itinéraires. Cette trame routière demeure encore lisible à travers nombre de routes nationales automobiles. Sur ces routes express, le galop est prioritairement l’apanage des parcours « en poste », accessibles aux voyageurs depuis 1794 : on en compte 4 000 en 1815 et 60 000 en 1829 ! Au cœur du XIXe siècle, des allures moyennes de 12 à 14 km par heure sont atteintes.
Source © - La Poste - Sébastien RICHEZ - Comité pour l’histoire de La Poste