TIMBRES DE FRANCE
Ex : 50 c
Ex : 456
Ex : Appel du 18 juin
Ex : 1900
Ex : Femme
mini 4 lettres
Création du site : Juillet 2005
Nombre de visiteurs : 31.284.733
Nombre de pages : 107.273.357
Dernière mise à jour 18-11-2024
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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 27/11/2023
Andrée Chedid 1920 - 2011
vente anticipée : Oblitération 1er jour à Paris au carré d'Encre le 20 et 21 mars 2020
Vente générale : 10 février 2020
Retrait de la vente : 31 mars 2021
Valeur faciale : 1.16 €
Dentelure : 13¼
Couleur : bleu, blanc et gris
Mode d'impression : Taille douce
Quantite émis : 700.005.
Bande phosphore : 2 barres
Catalogue Yvert et Tellier : N° 5388
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 1,10 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,38 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Informations complémentaires
De son enfance en Égypte, pays dont elle louait la tolérance et l’humour, de ses années au Liban elle gardera une sensibilité orientale dépourvue de nostalgie. Et si elle rend souvent hommage à ses racines, elle s’attache dans ses poèmes comme dans ses romans à bâtir des passerelles entre le passé et le présent, entre le Proche-Orient et l’Occident. Avec une écriture fluide et lumineuse, à la fois sobre et lyrique, Andrée Chedid fait souvent évoluer ses personnages dans un univers sombre, où s’affrontent le bien et le mal. Prix Goncourt de la nouvelle en 1979 et Goncourt de la poésie en 2002, celle pour qui écrire un poème était « prendre la vie à bras-le-corps », a laissé une œuvre considérable, internationalement reconnue, portée par une conviction : la nécessité de l’amour, l’amour de la vie, l’amour de l’humain
Source communiqué de presse ©La Poste
Andrée Chedid
Poétesse, romancière, dramaturge, parolière, Andrée Chedid a inlassablement interrogé la condition humaine. Son œuvre traduit l’urgence de célébrer la valeur profonde de la vie, au-delà des différences générationnelles, religieuses, culturelles, géographiques… D’origine libanaise, née au Caire, Andrée Chedid s’installe à Paris en 1946. Cette amoureuse de la langue française se consacre à la poésie pendant une quinzaine d’années avant d’explorer d’autres genres littéraires : romans – Le Sixième Jour, L’Autre, tous deux adaptés au cinéma, L’Enfant multiple...De son enfance en Égypte, pays dont elle louait la tolérance et l’humour, de ses années au Liban elle gardera une sensibilité orientale dépourvue de nostalgie. Et si elle rend souvent hommage à ses racines, elle s’attache dans ses poèmes comme dans ses romans à bâtir des passerelles entre le passé et le présent, entre le Proche-Orient et l’Occident. Avec une écriture fluide et lumineuse, à la fois sobre et lyrique, Andrée Chedid fait souvent évoluer ses personnages dans un univers sombre, où s’affrontent le bien et le mal. Prix Goncourt de la nouvelle en 1979 et Goncourt de la poésie en 2002, celle pour qui écrire un poème était « prendre la vie à bras-le-corps », a laissé une œuvre considérable, internationalement reconnue, portée par une conviction : la nécessité de l’amour, l’amour de la vie, l’amour de l’humain
Source communiqué de presse ©La Poste