TIMBRES DE FRANCE
Ex : 50 c
Ex : 456
Ex : Appel du 18 juin
Ex : 1900
Ex : Femme
mini 4 lettres
Création du site : Juillet 2005
Nombre de visiteurs : 31.285.283
Nombre de pages : 107.274.239
Dernière mise à jour 18-11-2024
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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 20/11/2023
Centenaire de la bataille du Chemin des Dames
vente anticipée : Oblitération 1er jour à Ouches-la-vallée-Foulon et à Paris au Carré d'Encre le 14 et 15 avril 2017
Vente générale : 18 avril 2017
Retrait de la vente : 31 janvier 2017
Valeur faciale : 2.20 €
Couleur : Quadrichromie
Mode d'impression : Héliogravure
Quantite émis : 450.000.
Catalogue Yvert et Tellier : N° F5138
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 2,00 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 1,50 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Informations complémentaires
Le Chemin des Dames est une ligne de crête entre les vallées de l'Aisne et de l'Ailette. Sa situation et ses carrières souterraines en font une véritable forteresse.
La seconde bataille de l'Aisne pendant la Première Guerre mondiale ou « offensive Nivelle », commence le 16 avril 1917 à 6 heures du matin par la tentative française de rupture du front allemand entre Soissons et Reims vers Laon, sous les ordres du général Nivelle
Échec sanglant
L'échec de l'offensive est consommé en 24 heures malgré l'engagement des premiers chars d'assaut français (une quarantaine). On n'avance que de 500 mètres au lieu des 10 kilomètres prévus, et ce au prix de pertes énormes : 30.000 morts en dix jours.
Le Chemin des Dames est une ligne de crête entre les vallées de l'Aisne et de l'Ailette. Sa situation et ses carrières souterraines en font une véritable forteresse.
La seconde bataille de l'Aisne pendant la Première Guerre mondiale ou « offensive Nivelle », commence le 16 avril 1917 à 6 heures du matin par la tentative française de rupture du front allemand entre Soissons et Reims vers Laon, sous les ordres du général Nivelle
Échec sanglant
L'échec de l'offensive est consommé en 24 heures malgré l'engagement des premiers chars d'assaut français (une quarantaine). On n'avance que de 500 mètres au lieu des 10 kilomètres prévus, et ce au prix de pertes énormes : 30.000 morts en dix jours.