TIMBRES DE FRANCE
Ex : 50 c
Ex : 456
Ex : Appel du 18 juin
Ex : 1900
Ex : Femme
mini 4 lettres
Création du site : Juillet 2005
Nombre de visiteurs : 31.281.963
Nombre de pages : 107.268.628
Dernière mise à jour 18-11-2024
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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 13/11/2023
Martin Nadaud (1815-1898)
vente anticipée : Oblitération illustrée 1er jour à Paris au Carré d'Encre et à Soubrebost (23) le 3 et 4 juillet 2015
Vente générale : 6 juillet 2015
Retrait de la vente : 29 avril 2016
Valeur faciale : 0.68 €
Graveur : Claude Jumelet
Dentelure : 13 x 13¼
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce
Quantite émis : 1.500.000
Bande phosphore : 1 bande à droite
Catalogue Yvert et Tellier : N° 4968
Catalogue Maury : N° 4924
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,51 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,18 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Informations complémentaires
Ouvrier sur les chantiers parisiens pendant près de 20 ans (1830-1849), Martin Nadaud est la figure symbolique de ces générations d'ouvriers du bâtiment creusois immigrés de l'intérieur (35 000 migrants au milieu du XIXe siècle) qui ont participé à la construction de la France moderne.
D'abord battu une première fois, le 23 avril 1848, il est élu le 13 mai 1849 député de la Creuse, le 4e sur 6, à l'Assemblée législative
Il doit sa notoriété à la célèbre phrase qu'il a prononcée en 1850 à la Chambre des députés « A Paris quand le bâtiment va tout va ! »
Source Wikipédia
Martin Nadaud
né le 17 novembre 1815 dans le hameau de La Martinèche, à Soubrebost (Creuse), et mort le 28 décembre 1898 au même endroit, est un maçon de la Creuse, un franc-maçon et un homme politique français.Ouvrier sur les chantiers parisiens pendant près de 20 ans (1830-1849), Martin Nadaud est la figure symbolique de ces générations d'ouvriers du bâtiment creusois immigrés de l'intérieur (35 000 migrants au milieu du XIXe siècle) qui ont participé à la construction de la France moderne.
D'abord battu une première fois, le 23 avril 1848, il est élu le 13 mai 1849 député de la Creuse, le 4e sur 6, à l'Assemblée législative
Il doit sa notoriété à la célèbre phrase qu'il a prononcée en 1850 à la Chambre des députés « A Paris quand le bâtiment va tout va ! »
Source Wikipédia