TIMBRES DE FRANCE
Ex : 50 c
Ex : 456
Ex : Appel du 18 juin
Ex : 1900
Ex : Femme
mini 4 lettres
Création du site : Juillet 2005
Nombre de visiteurs : 31.280.788
Nombre de pages : 107.266.494
Dernière mise à jour 18-11-2024
Nombre de visiteurs : 31.280.788
Nombre de pages : 107.266.494
Dernière mise à jour 18-11-2024
Cette bannière est une publicité le site n'a aucune boutique de vente
Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 13/11/2023
Nicole Mangin (1878-1919)
vente anticipée : Oblitération illustrée 1er jour à Paris au Carré d'Encre , Verdun et au Salon Philatélique de Printemps le samedi 21 mars 2015
Vente générale : 23 mars 2015
Retrait de la vente : 31 décembre 2015
Valeur faciale : 0.68 €
Dentelure : 13 x 13¼
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce
Quantite émis : 1.500.000.
Bande phosphore : 1 bande à droite
Catalogue Yvert et Tellier : N° 4936
Catalogue Maury : N° 4892
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,51 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,18 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Informations complémentaires
Partout, elle affirma son autorité et fut indispensable, ses compétences étaient indiscutables. Elle fut promue médecin-major en 1916. Cette même année, elle se vit confier la direction de l'hôpital-école Edith-Cavell.
Après la guerre, elle devint responsable de la formation des infirmières, mais continua de rendre visite aux malades, de travailler en chirurgie et de présider le conseil de direction de cet hôpital.
Atteinte d'un cancer incurable. Au matin du 6 juin 1919, son corps fut découvert sans vie à son domicile de Paris. Les pots de médicaments vides ne laissèrent aucun doute. Elle aurait préféré, en médecin, abréger ses propres souffrances.
Dr Nicole Girard-Mangin
enseignante à la Sorbonne et spécialiste de la prophylaxie antituberculeuse, fut la seule femme médecin-major de l'armée française engagée dans la Première guerre mondiale.Partout, elle affirma son autorité et fut indispensable, ses compétences étaient indiscutables. Elle fut promue médecin-major en 1916. Cette même année, elle se vit confier la direction de l'hôpital-école Edith-Cavell.
Après la guerre, elle devint responsable de la formation des infirmières, mais continua de rendre visite aux malades, de travailler en chirurgie et de présider le conseil de direction de cet hôpital.
Atteinte d'un cancer incurable. Au matin du 6 juin 1919, son corps fut découvert sans vie à son domicile de Paris. Les pots de médicaments vides ne laissèrent aucun doute. Elle aurait préféré, en médecin, abréger ses propres souffrances.