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Cinquantenaire du tour de france cycliste


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1953

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Paris le 26 juillet 1953

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris le 26 juillet 1953
Vente générale : 27 juillet 1953
Retrait de la vente : 12 décembre 1953
Valeur faciale : 12 f
Graveur : Albert Decaris

Dessinateur : Albert Decaris

Dentelure : Dentelé 13
Couleur : rouge brun outremer et noir
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 40 x 26 mm (vignette 36 x 21,45 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 3.075.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 955
Catalogue Spink / Maury France : N° 955
Catalogue Michel : N° FR 977
Catalogue Scott : N° FR 693
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,60 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 0,38 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,38 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Sports sauf le football

 


Informations sur le sujet du timbre

Le Tour de France

Dans la France du début du XXe siècle, il fallait être au mieux un grand fantaisiste, au pire une sorte d'aliéné, pour imaginer une course cycliste de près de 2 500 km à travers le pays. Géo Lefèvre, alors journaliste à L'Auto, eut cette inspiration. Son directeur, Henri Desgrange, eut l'audace d'y croire. Le 1er juillet 1903, soixante pionniers s'élancèrent de Montgeron sur leur bicyclette. Après six étapes démesurées (Nantes - Paris, 471 km !), seuls 21 « routiers », Maurice Garin en tête, parvinrent au terme de cette première épopée.
Les Français se sont dès lors pris de passion pour leurs nouveaux héros, qui s'appelaient Pottier, Petit-Breton ou Pélissier, un peu plus tard Vietto, Magne ou Leducq. Mieux, au-delà de l'attachement à des champions de haute valeur, ils se sont appropriés cette épreuve atypique qui met à l'honneur leurs villes, leurs campagnes et même, depuis 1910, leurs montagnes.
Générateur de performance et d'émotion, le Tour a surtout constamment vécu en harmonie avec son temps, quitte à en absorber les maux. Il a profité avec toute la France des congés payés dès 1936, a souffert des guerres, a savouré l'insouciance des « trente glorieuses » en célébrant Coppi, Bobet, Anquetil et Poulidor et s'est ouvert vers les pays étrangers à l'heure de la mondialisation.
http://www.letour.fr/le-tour/2015/fr/histoire
Source : divers documents internet dont Wikipédia

 

 

 

 

 

 

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